Ellyana Hitarou *~*Ellyana au pays des légendes*~* Messages : 34Points : 10732Date d'inscription : 30/06/2010Age : 30Localisation : Sur un forum RPG ou dans un bouquinQui suis-je ? : Sexe : Féminim Groupe : Autre Rang/Race (exemple: ninja/konoha ou vampire/level E) : Lycéenne Alice, classe 3A Sujet: Ellyana Rin Nola Hitarou, Petite magicienne irlandaise [Terminé] Mer 3 Juil - 23:33 Nos limites n'existent que dans nos craintes. » From Yannik Noah»
div> ¤ Identité ¤ Être ou ne pas être tel est la question...
Nom : HitarouPrénom : EllyanaAge : 16 ansSexe : FémininRang : Lycéenne, Classe 3A (équivalent seconde)Statut : CélibataireOrientation : HétéroAnime de ton personnage : Gakuen Alice
¤ Particularités ¤ Tous un peu les mêmes, tous un peu différents
Ellyana comme toute élève Alice à un pouvoir… Un Alice plutôt. Elle en possède même, comme certaines personnes plusieurs : deux. Son premier est la distorsion du temps. A la différence du voyage dans le temps qui permet de se déplacer à plusieurs époques, Ellyana ne peut que se « déplacer » d’environs 5-10 minutes en avant ou en arrière et stopper sur une zone le temps. Lorsqu’elle retourne en arrière elle revient à la place ou elle était à ce moment, en avant tout ce passe en accéléré autour d’elle. Lorsqu’elle fige le temps elle doit se concentrer et cela la fatigue beaucoup en fonction du temps d’activité et de concentration (tout est figé dans un rayon de deux kilomètres et le reste est ralentie fortement puis ralentie doucement en s’éloignant). Son second Alice est beaucoup, mais beaucoup plus simple : elle peut respirer sous l’eau et nager plus vite que la moyenne, comme une sirène si on se réfère à des êtres mythiques. Ellyana ne possède pas d’autre Alices mais elle est en possession de plusieurs cristaux d’Alice appartenant à ces proches. De son frère elle sait protéger son esprit de toutes intrusions non souhaité, de sa mère elle possède une capacité à transmettre ces émotions grâce à sa maitrise quasi parfaite du violon, et de son père elle est capable d’insuffler de la vie ou de l’énergie à une personne ou un autre être vivant (animaux et plantes) – si celle-ci n’est pas morte ou depuis très peu de temps-. Ellyana possède un rêve : elle aimerait devenir une artiste de talent aux côtés de Daniel son grand frère, et jouée du violon à cette occasion en Irlande. Quelques petites particularités de son dossier médical ? Elle est Achluophobe (peur des endroits sombres voir noir), allergique aux cacahouètes, et de groupe sanguin A+. Sa santé est aussi très fragile (elle fait souvent des séjours à l’hôpital pour des problèmes touchant son appareil respiratoire). Ellyana est trilingue : Japonaise (ou elle vit), Française (par sa mère) et Irlandaise (par son père).
¤ Personnalité ¤ C'est notre caractère qui fait de nous ce que nous sommes.
Comment je me décrirais ? Hum… Je vais essayer d’être la plus objective possible… Du coté de mes qualités on me dit souvent que je suis facile à vivre : Serviable, poli, calme, et pacifique. Mais mon caractère ne se résume pas seulement à ça : je sais être têtue, de par mon caractère semi-irlandais, sur-sensible, ce qui n’est pas forcément la meilleure combinaison des traits de caractères, ou encore très protectrice : raison pour laquelle attention à ne pas s’attaquer à ma famille, mes amis, ou bien des enfants. Que dire d’autre ? Je crains les garçons, surtout ce dont les apparences semblent parfaite, je préfère les défauts apparent. Je suis plutôt amicale quand l’on regarde au fond mais je peux aussi parfois être timide lorsque je ne suis pas en confiance. La famille est quelque chose de très importante pour moi, je suis prête à me jeter corps et âme dans un combat pour eux, surtout pour mon grand-frère : nous partageons une relation fusionnelle, qui pourrait être envié aux jumeaux même si cela n’est pas le cas. Je vous préviens tout de suite : je suis une grande gourmande malgré les apparences ; et j’ai l’avantage de pouvoir me goinfrer sans grossir… Espériez-vous me surprendre en flagrant délit de grignotage de gâteau ? Je ne sais pas si ça sera bien dur : je suis souvent en train de me régaler de petit gâteaux et sucreries.
¤ Apparence ¤ Ne me jugez pas sur ce que vous voyez, écoutez plutôt.
Comme vous pouvez le voir je ne suis pas très grande mais de bonne corpulence : ni en sous-poids ni en surpoids : 50kg pour 1m60 Ma peau est blanche et ne bronze pas facilement : les coups de soleil sont mes camarades – non souhaité d’ailleurs – la plupart du temps. Mes cheveux sont très long et blonds, c’est ma couleur naturelle d’ailleurs, et mes yeux son ambré. Ce n’est pas très courant comme couleur d’yeux mais elle me plait et sans en être sûr je dirais qu’elle est plutôt appréciée. Ma tenue, ma tenue… J’aime beaucoup les couleurs pales, sobres. Elles me permettent de ne pas me faire remarquer. Lorsque le temps le permet j’aime beaucoup les jupes et les robes . Ces dernières deviennent mes tenues de guerre pourrait-on dire : je ne mets que ça. Lorsqu’il pleut/neige/vente/… Bref, dès que le temps ne le permet plus, je m’habille chaudement, avec des couleurs passe partout : marron, beige,… Il ne faudrait pas tomber malade tout de même ! J’aime beaucoup porter un ruban et je ne me sépare que rarement du médaillon offert par ma famille, et qui appartient d’ailleurs à celle-ci depuis plusieurs générations. Pour résumé ma tenue : jolie, pratique, discrète et confortable. ¤ Histoire ¤ Pas de passé, pas d'avenir.
Il y a maintenant 15 ans à peu près, par cette belle journée qu’étais le 22 Mai 1997, une petite fillette est née dans la ville de Dublin, en Irlande avant de retourner à la fin des vacances chez sa famille au Japon. Cette petite fille c’est moi, Ellyana Rin Nola Hitarou. Nous ne sommes pas une famille que l’on pourrait qualifié de nombreuse mais je l’aime. Je suis entouré de mon frère, Daniel Akira Logan Hitarou, de deux ans et demi mon ainé et de mes parents : Léanne, qui est française et japonaise, et Aïden, irlandais, Hitarou. J’ai tout de suite été très proche de ce frère qui est de deux ans et demi mon ainé. Il m’a toujours soutenue et à défaut d’avoir une mère complètement maman poule j’ai le frère poule… J’ai toujours eu l’habitude d’aller le voir dès que quelque chose n’allait pas et en grandissant, quand je n’allais pas le voir, c’est lui qui venait comme mût par un sixième sens. Ca a toujours été comme ça, enfin je crois puisque j’ai perdu la mémoire alors que je n’avais que huit ans. Mes seuls souvenirs de cette période ne sont que mon réveil, des ouïes dire ainsi que des bribes de souvenirs qui me sont revenus. Je me rappelle un peu près les circonstances de l’accident. Je portais ma robe mauve à fleure ce jour-là, nous étions partit pique-niquer, d’ailleurs quand j’y pense pendant un bon moment nous n’y sommes plus retourné. Nous avions jouée tout l’après-midi dans la prairie et nous nous étions baignés avec mon frère dans le cours d’eau. Au moment de repartir nous avons tout rangé, nous sommes partie rejoindre la voiture. La route était vide au moment où j’avais regardée. Marchant à coté de mon frère j’avais commencé à traverser avant de trébucher et de le bousculer involontairement. Quand on y repense sans le savoir je lui suis évité le même sort que le mien. Je m’étais relevée et lui se rapprochais de moi, après avoir récupéré mon chapeau qui était tombé un peu plus loin. Lorsque la voiture m’a fauché, je n’avais pas eu le temps d’utiliser mon Alice dont ma maitrise n’était pas encore la meilleure du monde. Voilà l’histoire de mon amnésie mais revenons à moi puisque vous vouliez entendre mon histoire. J’ai toujours été décrite comme une petite fille sage, poli et serviable, du moins quand je ne me mettais pas en tête de convaincre mon entourage du bien fondé de mes pensées, auquel cas je devenais, et deviens toujours, très têtue. C’est ma partie de caractère irlandaise. Je suis aussi très rêveuse, rien d’étonnant quand l’on regarde mes origines : je suis née dans le pays des lutins, des fées et autres créatures fantastiques. Je peux, sans problème, passez de longues heures à rêvasser, et de préférence au coin d’un bon feu de bois ou d’un lac paisible je vous prie ! Cette partie de mon caractère est resté identique entre mon enfance et maintenant mais un point à changer. Si ma timidité passagère était déjà part intégrante de ma personnalité, peut être en raison des déménagements successifs lors de mon enfance, je n’ai pas toujours été aussi méfiante envers les autres ; mais bon… Vous ne pouviez pas le savoir… Vous voulez connaître ce qui s’est passé, pour que je change, je suppose ? D’accord… Je vais vous en raconter un peu plus sur ma vie et moi… Je vous ai déjà raconté la relation fusionnelle que j’entretiens avec mon grand frère, mon cher Dan’, mais je ne le répéterais jamais assez. Mon grand frère, mon protecteur, ma sauvé de bien horribles traitements. Je ne remercierais jamais assez le sixième sens qu’il a développé à mon égard. Bon, par où commencer ? Par le début ? Oui, vous avez raison c’est le plus logique ; que suis-je bête parfois ! Il y a environ 3 ans 1/2, voir même 4 ans, je ne suis plus très sûr de la date, j’ai rencontré un garçon de mon âge : Ichiyo Watanabe. Ichiyo était vraiment un garçon merveilleux ! Et ce n’est pas peu dire ! Imaginez donc : il était charmant, avec un visage avenant, souriant, une belle carrure, ainsi que tous les attributs des « beaux gosses ». Et ce n’est pas tout ! Ichiyo était poli, adorable, il me faisait des cadeaux de temps à autre et m’offrait des fleurs d’ailleurs, drôle, et possédait une culture impressionnante du monde des affaires, il faut dire qu’avec un père responsable d’une banque et sa mère dans les affaires aussi, il était plutôt avantagé. Bref. Ce jeune homme m’avait totalement charmé, il c’était même montré charmant lorsque je l’avais invité pour rencontrer ma famille, qui l’avait approuvé, mais il faut dire que du moment que j’étais heureuse mes parents approuvaient la plupart de mes choix. Ce BCBG « Bon Chic Bon Genre » comme je le décrivais parfois, ne recueillait pas tous les suffrages : Daniel ne lui faisait pas entièrement confiance, il s’en méfiait. Qu’elle belle vie pour une petite adolescente de 12-13 ans, n’est-ce pas ? Je vous accorde, cela semble être une relation plutôt idyllique. Une idylle qui s’est révélé être un espoir utopique. Ces mots compliqués pour dire que mon frère avait raison de se méfier. Mon grand frère, mon protecteur si cher à mon cœur, se débrouillait pour ne jamais me laisser seule, il me suivait ou ne me laissait qu’en présence d’une amie proche ou de ma meilleure amie Maëlys, ou encore de son meilleur ami Louca. Trois mois sans problème suffirent pour que mon frère me laisse. Enfin, il faut dire que ce n’était pas de gaîté de cœur… Je lui avais demandé un petit peu d’espace et d’intimité, et il me l’avait accordé. Si seulement je ne lui avais pas demandé ! Si seulement j’aurais su ce qui allait se passé ! Si seulement il ne cédait pas à toutes mes demandes ! Et si seulement j’avais gardé mon caractère de petite fille dépendante de lui ! Rien de cela ne se serait passé… Je ne me rappelle pas de grand-chose de part moi-même. Les médecins disent que mon esprit à saturé et que c’est la cause de ma seconde perte de mémoire. Lorsque tout c’est passé ça faisait un mois que mon frère ne me suivait plus ou que j’aille. De quoi ? Je suppose que vous voulez savoir ? Je pense que c’est votre curiosité que je vois briller dans vos yeux… La curiosité est un vilain défaut ! Un jour peut-être vous perdra-t-il, un peu comme moi en fait. Vous êtes toujours aussi curieux ? Tant pis pour vous ! Je vous aurais prévenu que la suite n’est pas toute rose ! Je me rappelle qu’il m’a parlé d’un petit bateau qu’il avait déniché, un petit bateau abandonné qu’il venait de réparer. Dire que je ne m’étais pas étonné d’une Nième qualité de plus, de ma naïveté ça ne m’a pas étonné qu’il sache aussi bricoler. A croire que c’était l’homme parfait ! Bref. Je l’avais suivie, seule, il m’avait emmené près d’un hangar dans la ville voisine, j’avais juste prévenue mes parents que je me rendais au bord de l’eau à cet endroit et laissé un message à mon frère que je devais rejoindre pour une sortie après. Je me rappelle qu’Ichiyo m’avait bien emmené à un hangar. Nous avions discuté de son bateau puis, à l’approche de la « cachette », à quelques pas de l’entré, il m’avait demandé si un tour en bateau pour « aller voir des vagues ». Je me rappelle m’être retourné, entrapercevant un ami à lui, et la silhouette au fond d’une autre, pour lui demander comment il comptait faire des vagues avec un petit bateau comme celui dont il me parlait. La suite de mes souvenirs ne consiste qu’en un aperçu de son sourire. Un sourire content, prédateur, et narquois, comme un prédateur qui observait sa proie en sachant pertinemment qu’elle ne peut s’enfuir. Bip… Bip… Bip… Quel bruit entêtant ! Je m’en souviens encore ! Je m’étais réveillé enrubanné à la tête, le bras en écharpe, et quelque chose me bloquant la cheville : une attelle. En tournant la tête vers la gauche j’avais vu une série d’hématome d’une couleur peu attrayante et d’une taille considérable et, au bout de ce bras, ma main que tenait mon frère endormis et les larmes aux yeux. Je n’avais jamais vu mon frère pleurer en ma présence. Le mouvement de mon corps, trop brusque, était à l’origine du petit gémissement qui était sorti de mes lèvres et du réveil donc de mon frère. Ce-dernier m’avait alors prit et serrer dans ses bras, telle une petite poupée de porcelaine sur le point de se briser, et m’avais embrassé le front, signe de protection. Mes parents étaient arrivé par la suite et avait fait preuve d’une sollicitude énorme. Mon père ne s’était même pas énervé, pourtant chose courante avec notre caractère de mule. La suite de cet « accident » c’est mon frère qui me l’avait raconté, bien réticent il faut le dire mais j’avais besoin de savoir un peu ce qui c’était produit. Ichiyo et ces copains avaient entrepris de me faire passer un très mauvais moment et le sixième sens de mon frère vis-à-vis de ma personne m’avait sauvé de bien des tourments en les interrompant à temps. Mon frère, qui était arrivé avec son meilleur ami Louca et quelques autres personnes, m’avait tiré de cette situation. Mes vêtements étaient alors en lambeaux, ma peau se tachait de bleues, du sang coulait d’une blessure à la tête, et un peu plus de temps plus tard je n’aurais plus été capable de parler d’innocence me concernant. Cet accident est à l’origine de ma méfiance envers les autres, garçon en premier, et surtout envers les BCBG. Je me suis alors renfermée sur moi-même. Si mon frère pouvait me parler autant qu’il voulait, et mes parents un peu aussi, je ne parlais à quasi-personne autour de moi. Maëlys, ma meilleure amie et petite amie de mon frère, ne pouvait elle-même pas me tirer de mots autres que « bonjour », « oui », et « non », et encore ! Mon mutisme était lourds pour mes proche et, sans y parvenir, je n’arrivais pas à y remédier : les mots ne venait pas sur ma langue, ma voix ne sortait pas, les phrases qui me venaient à l’esprit n’avait plus de sens… Je m’étais alors enfermé dans mes rêveries : de grande rêveuse j’étais devenue une rêveuse plus qu’accomplie. Devant mon silence pesant mes parents m’avaient envoyé avec mon frère, pendant les vacances, en Irlande. Aileen, ma grand-mère irlandaise, la mère de mon père, nous avait accueillis. Le sourire me vient désormais aux lèvres quand j’y repense : c’est surement sa douceur, les liens qui me rattache à ma famille irlandaise, et la musique que j’écoutais tous les soirs au pub, ainsi que le réconfort constant de mon frère, qui m’a permis de guérir. Pendant cette période de morosité la lecture était toujours une partie intégrante de ma vie alors que la porte vers la danse et musique m’était fermé. C’est l’univers enchanté de l’Irlande qui m’a ramené la musique, classique et celtique, et l’amour des miens qui m’a ramené la danse classique.Les conséquences de l’accident, et ma faiblesse d’âme, a été très difficile à supporter pour mon entourage. Cela me chagrine. Je sais que je suis à l’origine de la douleur qui a été la leur pendant de longs mois. J’ai été trop dépendante d’eux. Je me suis laissé abattre sans résister, j’ai si longtemps été protégé et couvé qu’à la moindre situation problématique les conséquences étaient terribles sur mon état mental, et indirectement sur ma santé déjà fragile. C’est en prenant conscience de cet état de fait que j’ai décidé de partir. Pas définitivement, non ! Que croyez-vous ? Il m’est très dur de me séparer de ma famille, en particulier de mon grand frère, et non pas seulement pour leur aide et leur soutiens. C’est à ce moment, du haut de mes 14 ans que j’ai voulu me débrouiller seule. La bataille a été rude mais j’ai triomphé, j’ai remporté la guerre ! La guerre, ce mot conviendrais presque pour décrire la situation entre mon père et moi : nous sommes aussi têtue l’un que l’autre. La situation ressemblait bien à un des nombreux conflits ayant parcouru ma terre natale, à la différence près que malgré ces assertions mes parents étaient tout de même fière –et inquiet- que je prenne mon envole. Là où ça a été le plus difficile, aussi bien pour lui que pour moi, ça a été de convaincre mon frère. Ce-dernier ne voulait pas me laisser partir, j’ai toujours été sa petite sœur chérie et protégée. Malgré tout l’amour que je lui porte et qu’il me porte je ne pouvais pas renoncer à mon projet. Je reviendrais plus forte, plus méritante, et je serais enfin moi, je serais enfin moi et non plus la petite Ellyana a la santé et à la vie fragile. C’est ainsi que j’avais pris la route pour m’installer en Irlande, loin de mon frère mais toujours proche de mes origines. Le voyage avait bien commencé mais j’ai perdue connaissance et me suis retrouvé à l’Académie Alice, sans repère, une partie de ma mémoire enlevé magiquement par la suite, la confiance en mes proches en partie perdue. Ma vie n’est pas toute rose, je m’en doute, je n’ai même pas l’impression d’avoir vécu avec toutes ces pertes de mémoire. Je me retrouve donc désormais à l’académie qui, je l’ai appris par hasard il y a peu, ma supprimé magiquement toute une partie de ma mémoire. Seule me reste mes cristaux, que j’ai tous conservé et qui m’ont permis de retrouvé par la suite de retrouvé quelque peu ma mémoire, et l’espoir de retrouvé les miens à la sortie de l’école.
Tout à une fin, après tout
Pourquoi avoir choisis ce personnage ? : J'ai choisis Full moon (de Full Moon wo sagashite) comme avatar car elle est blonde aux cheveux long comme l'est Ellyana. Ce caractère que je lui est donné, comme tout ce qui concerne ma Elly vient d'un rêve et de petit flash sur elle... Irl (facultatif) Tu t’appelles... ? EmelineTu as ... ? 18 années Comment as-tu découvert le forum ? Par l’admin en suivant la vie de ses forums (en commançant par Néko Pirate ^^)Qu'en penses-tu ? So Pretty =) J’aime beaucoup, le noir aurait pu faire trop sombre mais c’est super bien gérée ! The Admin is the best (non je ne fais pas de fayotisme).